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Many think of Japanese gardens when people bring up the topic of Asian gardens. But the roots of Japanese gardens, such as zen-style gardens, can be found in Korea,

Park Jung-wook (left) and Regis Juvigny, co-presidents of the France-based K-Garden Association, speak to The Korea Herald at its headquarters in Seoul on March 22. (Park Hae-mook/The Korea Herald)
The beauty and ecological value of Korean gardens will be featured in Paris in 2025 in a major exhibition with an estimated cost of 15 billion won ($11.5 million), the Korean-French duo in charge of the project told The Korea Herald.
Park Jung-wook and Regis Juvigny, co-presidents of K-Garden Association, said in Seoul last week that they are currently in the process of bringing their plan of showcasing the best aspects of Korean gardens in the Luxembourg Gardens in the heart of Paris.
“Japanese or Chinese gardens have a clear trail that the visitors have to walk through to enjoy the scenery. In contrast, Korean gardens require visitors to map out their own routes in their minds,” Park said.
“Problems with the ecosystem happen when humans start distinguishing themselves from nature – the Korean garden is a portrayal of humans becoming a part of nature,” he added.
Juvigny said the style of Korea’s gardens, which has remained consistent for centuries, provides an important lesson for the world today, where we are facing issues that stem from rapid changes in the Earth’s inhabitants and their habitats.
“The species of plants in the traditional Korean gardens have remained naturally unchanged for centuries and this trait is the answer to environmental issues around the world,” Juvigny said.
“European countries must conduct thorough research of the Korean garden because of its centuries-old ecosystem that has been kept alive, » he added.
The K-Garden Association was launched last year with the goal of researching the ways of adopting the benefits of Korean gardens to green projects in the European Union. Park and Juvigny assumed the inaugural co-chief roles on the request of the French Senate.
Prior to the organization’s launch, the two first met at the Luxembourg Gardens, the planned venue of the exhibition.
Park, a Korean gardens expert who graduated from the Faculty of Arts and Humanities at the University of Paris IV – Paris Sorbonne, and Juvigny, who graduated from the prestigious Ecole Nationale Superieure de Paysage after studying landscape architecture, clicked right away with their common love for gardens. The meeting also amplified Juvigny’s interest in Korean gardens.
“I first saw Korean gardens through Korean historical dramas. They painted the Korean gardens in a way where the palaces were in harmony with the mountains behind, which is very different from the gardens in Europe,” Juvigny explained.
Another key goal of the committee is to distinguish the beauty of Korean gardens from their more globally known counterparts through the exhibition.
“Many think of Japanese gardens when people bring up the topic of Asian gardens. But the roots of Japanese gardens, such as zen-style gardens, can be found in Korea,” Park said.
The 2025 exhibition in Paris will feature five gardens centered around five different styles of traditional gazebos. Each will be based on different periods throughout Korean history, including the Shilla Kingdom (57 B.C–676 A.D) and the Goryeo Dynasty (918-1392). A garden dedicated to Korea’s young generation – millennials and Generation Z – will be exhibited as well.
The exhibition in Paris will last six months before traveling to other cities, including Seoul in 2026 and New York in 2027.
“We want to reinterpret gardens as a public and open space that exists for all generations,” Park said.

By Jung Min-kyung (mkjung@heraldcorp.com)

Publié le 02/08/2019 à 03:48 , mis à jour à 08:44      ExpositionsFigeac

L’Hôtel Mercure Figeac Viguier du Roy accueille jusqu’au 22 septembre l’exposition photographique «PAIX» de l’artiste franco-coréen Eden Jung-Wook Park. Lors d’un voyage à San Francisco, ce dernier découvre le plaisir de faire de la photo. C’est en lisant «le Cimetière Marin», poème de Paul Valéry que l’artiste découvre la France et décide d’y vivre. «L’art s’infiltre entre la paix intérieure et les combats de tous les jours, explique le jeune homme. La vie ne se résume pas à ce que je vois, mais quelques fois elle me fait découvrir des choses invisibles par un mouvement du vent, par un geste d’un ami et par le sourire d’un enfant. Le visible rejoint l’invisible». L’exposition révèle par 47 photographies ces moments vécus pendant ses voyages en France, en Espagne, en Italie ou en Californie. Par touches successives de couleurs, ces photographies très créatives sont travaillées et conçues comme des tableaux de peinture, une autre passion d’Eden. Le site remarquable de l’ancienne demeure du Viguier du Roi épouse admirablement les quatre déclinaisons de l’exposition. Si le jardin reçoit les clichés des arbres, la piscine ceux traitant de l’eau, le cloître accueille les représentations de l’éternité, le bar enfin fait la part belle à de magnifiques photos de tango pleines de sensualité. «Par cette exposition, nous ouvrons notre lieu sur l’extérieur, indique Adélaïde Pujol, directrice du groupe hôtelier. Ce parcours artistique est une occasion unique de découvrir ce magnifique endroit.»

Entrée libre.

https://www.ladepeche.fr/2019/08/02/eden-jung-wook-park-a-lhotel-du-viguier-du-roy,8342925.php

Figeac : Sérénité et paix à l’Hôtel Mercure du Viguier du Roy

 

L’artiste franco-coréen expose ses clichés à L’Esperluète

L’Espoir d’Eden Jung-Wook Park

Le salon de la librairie L’Esperluète accueillie, depuis mercredi, l’exposition photographique d’Eden Jung-Wook Park, artiste franco-coréen.

Eden Jung-Wook Park, qui vit et travaille entre Chartres et Paris, ex^pose vingt photographies encadrés, de différents formats, jusqu’au 2 juillet, à l’Esperluète.

Ces Clichés représentent des images que l’artiste-photographe a prises sur le chemin de Jack Kerouac, à Monteley, en Californie et à San Francisco ; un champ d’oliviers à Figueras, en Espagne ; quelques paysages d’hiver à Gif-sur-Yvette ou encore l’installation d’un jardin coréen en art contemporain pendant son exposition à la Fondation Coubertin à Paris.

Un lever de soleil à La Rochelle apparaît comme image symbolique de l’espoir que l’artiste Eden Jung-Wook Park cherche à travers son voyage initiatique vers une autre réalité.

« L’art s’infiltre entre la paix intérieure et les combats de tous les jours. L’art comme un signe de vie, une petite lumière, une joie surprenante que la brèche d’un mur de silence me permet d’entrevoir, aspirer et imaginer une autre vie éternelle sans soucis », explique le photographe, qui ajoute : « La vie ne se résume pas à ce que je vois, mais quelques fois, elle me fait découvrir des choses invisibles par un mouvement du vent, par le geste d’un ami ou par le sourire d’un enfant. Le concret est ainsi parfois abstrait. Le visible rejoint l’invisible. C’est ce que j’essaie de montrer par mes photos », a souligné Eden Jung-Wook Park lors de vernissage de l’exposition mercredi soir.

21/05/2019, Basem Shalabi, journaliste de l’Echo Républicain

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(BO/art 2 col) Autour de l’univers artistique d’Eden Jung-Wook Park

Publié le 23/10/2018

Les « Samedis de la Gazette » recevaient, samedi après-midi, à l’espace culturel Daniel-Pothier, le créateur photographe et peintre d’origine coréenne Eden Yung-Wook Park résidant à Chartres. Il a retracé ses expériences coréennes, états-uniennes et européennes, par un diaporama magnifiquement illustré de ses œuvres, peu à peu son cheminement artistique et personnel apparaissait. De l’approche descriptive suggestive orientée par son œil de photographe à l’abstraction imagée de la nature liée à son approche du monde, l’artiste livrait une partie de son intériorité.

Chacun à sa façon prenait les pas d’Eden pour arriver aux toutes dernières «installations» dans nos jardins de grandes photographies dans leurs milieux, de nature, de lumière et de reconstruction du monde.

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Une incursion zen dans les jardins d’Extrême-Orient au musée des Beaux-Arts de Chartres

Publié le 18/11/2017

Dans le cadre des Jeudis au musée, le musée des Beaux-Arts a proposé une incursion dans les jardins d’Extrême-Orient, en Chine, au Japon et en Corée.

Le Coréen Eden Jung-Wook Park a présenté l’art des jardins comme autant d’images de l’Eden, du Paradis des immortels.

Un thème passionnant quoique d’accès aride pour un esprit marqué par la pensée occidentale. Le conférencier a évoqué le taoïsme, le « gi », le zen, le bouddhisme et le tao ou « voie », autour de trois axes principaux : Pékin (Chine), Kyoto (Japon) et Séoul (Corée du Sud), en illustrant son propos avec des images aussi diverses qu’évocatrices, parfois empruntées à l’art pictural (dessins et gravures).

Rapidement, la promenade du public s’est transformée en réflexion intellectuelle sur sa propre éternité.

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La librairie organise, demain, une Rencontre du social

Publié le 25/04/2019

La prochaine Rencontre du social de Chartres a lieu, demain, à la librairie L’Esperluète.

Ce rendez-vous accueillera un invité exceptionnel en la personne d’Eden Jung-Wook Park, écrivain et artiste franco-coréen converti au christianisme, qui évoquera son nouveau livre, S’élever comme une étoile, paru dans la collection Ethnographiques des éditions L’Harmattan, dirigée par le Chartrain Pascal Le Rest.

Eden Jung-Wook Park a publié à Séoul (Corée du Sud) et Paris de nombreux livres chez différents éditeurs, après avoir décroché une thèse de doctorat, en 1996, en art et archéologie, à la Sorbonne (Paris), qui portait sur l’esthétique de l’art des jardins en Asie.

 

Directeur de musée

Durant sa carrière, il a notamment dirigé le musée dédié au peintre Ungno Lee, à Séoul, et l’institut Ars & Locus, à l’École des hautes études en sciences sociales, à Paris.

Pascal Le Rest, qui anime cette Rencontre du social, présentera l’écrivain et son dernier livre.

Pratique. Rencontre du social, demain, de 18 h 30 à 20 heures, à la librairie L’Esperluète. Entrée libre.

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